Dans cet essai incontournable qui lui a valu le Grand Prix du livre de la Ville de Montréal en 1977, Gilles Marcotte examine l’œuvre de quatre grands écrivains des années 1960 – Gérard Bessette, Marie-Claire Blais, Réjean Ducharme et Jacques Godbout – pour caractériser la modernité du roman québécois, lequel s’éloignerait du « grand réalisme » à la française et de l’Histoire pour explorer les aléas du quotidien et les possibilités du langage.
Le DLTC félicite Xavier Phaneuf-Jolicoeur dont la thèse de doctorat,Faire le mort. L’image de la mort feinte dans la poétique de trois romans français d’après-guerre : la « trilogie » de Samuel Beckett, Moderato cantabile de Marguerite Duras et La route des Flandres de Claude Simon, a été récompensée par le Arts Insight Dissertation Award.
Chaque année, la Faculté des Arts remet deux de ces prix: l'un pour la meilleure thèse soutenue dans le domaine des humanités, l'autre pour la meilleure thèse soutenue dans le domaine des sciences sociales.
Bien que l’équipe mcgilloise ne soit pas montée sur le podium aux Jeux de la traduction cette année, elle a admirablement tiré son épingle du jeu dans l’épreuve de traduction individuelle, avec une 2e place vers le français (Béatrice Poirier-Pouliot) ET vers l’anglais (Devyn Shaughnessy). Outre Béatrice et Devyn, l’équipe était composée de Kiara Andreani-Labelle, de Noah Bourdon, de Carl Cenerelli et d’AnnaLeeper. Lyne Jolette de l’Education permanente a aidé l’équipe à s’entraîner. Cette 18e édition des Jeux de la traduction avait lieu à l’Université Laval, du 15 au 17 mars.
Arnaud Bernadet est professeur au département des littératures de langue française, de traduction et de création de l’Université 91ε depuis 2010. Formé à la linguistique française et à l’épistémologie littéraire, ses travaux portent sur le langage, la littérature et l’art, les enjeux culturels et politiques des œuvres de création. Ces dernières années, il a participé activement aux débats publics sur la liberté d’expression en intervenant dans les médias au Québec et à l’étranger (Radio-Canada, Le Devoir, La Presse,Affaires Universitaires, Mediapart).
Dans qui paraît dans la collection «L’Inconvénient» (chez Leméac), Isabelle Arseneau réinterroge le sens de son métier, à lalumière d’une expérience de lecture troublante vécue dans son enfanceainsi que de son propre rôle de mère.
Composée de Hannah Allen, Sirine Al Taha, Kiara Andreani-Labelle, Juliette Lapointe-Roy, Laura Tobon et Yifan Wu du DLTC, ainsi que de Kayla Cardinal-Lafrance de l’Éducation permanente, l’équipe de 91ε, accompagnée des professeures Catherine Leclerc (DLTC) et Lyne Jolette (Éducation permanente) a remporté la deuxième place aux Jeux de la traduction 2023, qui se tenaient à l’Université de Moncton du 31 mars au 2 avril.
2ecolloque international «Géocritique des espaces littéraires et artistiques francophones»
18-19 avril 2024, Université 91ε
, co-édition de Daniel Roche, Pascal Bastien, Frédéric Charbonneau, Vincent Milliot, Philippe Minard et Michel Porret, Genève, Georg éditeurs, 2022
Du 12 janvier au 23 mars 2023, dans le cadre du Pôle d’analyse de données sociales, leoffrira six ateliers en ligne d’initiation aux méthodes et outils d’analyse de textes assistée par ordinateur.
Le DLTC félicite Alain Farah, lauréat du prix du Gouverneur général (catégorie «roman») pour (Le Quartanier, 2021).
L'équipe de Points critiques du DLTC est heureuse de rendre disponible en balado l'entretien mené en février 2022 par Samuël Lévesque et Ophélie Proulx-Giraldeau avec André Major et Michel Biron autour du livre (Boréal, 2021).
Pour écouter le balado: cliquer .